mycans
LUXURE & VOLUPTE.
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LUXURE & VOLUPTE.
2010 janvier 7 Jeudith à 0:24
Des médias aux câbles qu'elle disait rompre se composaient nos liens. Les clips étaient notre exception, le public d'une docilité exemplaire. Les balbutiements que je classais comme tous les autres dans la masse des indéfinis me plaisaient, inéluctablement. Ainsi j'allais devoir voler les mots aux livres, aux voix, aux autres. Aux pubs leur tendance et allures colorées. Les fragments qui la marquaient pouvaient avoir les vertus d'un poison délicieux. Son teint celles d'un tube d'hypnôse. Le moindre geste, les soupirs les plus pâles. C'était un Amour tellement particiulier.. Et la pureté n'en faisait pas partie.
2009 décembre 20 Dimancheth à 16:14
Far far away. A specimen like you i would love to obtain.
Je ne comprends pas ce qui arrive. Ne perçois pas le moindre rayon de soleil par la fenêtre, le ciel est couvert, il menace de se déchirer. Spécimen que tu es, suprématie indiscutable de ce qui te constitue. Tout me pousse à écrire... La saison décalée, le timbre de Vincent Delerm, les photos de choco, ton sac suspendu à la porte d'entrée, l'image floue qu'il me reste de toi, la journée du 13 mars de minuit à minuit et plus..."J'va' faire les courses t'as besoin de quelque chose ? " Je ne vais plus chercher ce que je n'atteindrai de toute évidence jamais. Je me suis faite à l'idée de ne pas pouvoir te faire part de tout ce qui est en moi, parce que la musique qui m' envoûte ne me fait plus avancer, parce que ce que je voudrais dire n'existe pas, parce que m'efforcer n'y change rien, et parce que t'aimer suffit, un jour tu réaliseras. Prendre le temps de sortir pour respirer, ne pas oublier de croire en nos rêves, ne pas briser quelconque amitié, non, surtout pas. Hausse du moral, extinction des feux, je croyais que tu ne voulais plus entendre parler de moi alors qu'est ce que t'es venu foutre ici ? Je suis passé à Sterophonic, planant. Je bois du lait, je pense à vous. Strass et paillettes, fric, oublie. Toi aussi t'as opté pour le piercing alors ? ..Malchik gay, virevolte, paroles, accordéon... Comment te va la robe ? Que nenni, et les bijoux ? J'ai envie de Popeye chaque fois que je passe devant station pizza, c'est à dire au moins quatre fois par jour, c'est problématique. Mais c'est plus que Popeye, meilleur que le basket, plus grand que le riz trop cuit, tout parait si petit à côté... A. demain, toute la semaine, et pour partout. Toujours avec moi mais bien cachée. Comme mes sentiments.
Devoir d'un roman tant peint de mots. Exutoire. L'acacia et ses rafales de saveurs sucrées. Tout est rien. L'insipide son inverse, la délicatesse qui n'a de cesse de dégager sous la bataille que le vent mène face au sol arctique.
Devoir d'un roman tant peint de mots. Exutoire. L'acacia et ses rafales de saveurs sucrées. Tout est rien. L'insipide son inverse, la délicatesse qui n'a de cesse de dégager sous la bataille que le vent mène face au sol arctique.
2009 décembre 8 Mardith à 15:19
Tablier symphonique à la mousseline multilatérale issue de l'incantation incommodante de l'immense impératrice colorée cymbales cylindriques culinaires piquée de brochettes Bretonnes.
2009 décembre 7 Lundith à 19:16
Oui. Et puis en fait Non.L'aller retour juste sous mes yeux encore maquillés de la veille. Le triomphe de la bande son à horaires noirs et illisibles pour les dyscalculiques dans le genre. Les périodes pourries du temps. Nos sacs sur l'épaule en fagot de chair, on n'aurait pas fait mieux. Désillusion.
Fermer les yeux. Avoir peur de cette crainte même. Il les aura ouvert finalement. Les décombres de vos vies d'avant.
Les routes, leurs bruits. Les passages, toujours les mêmes, mais en différents.
C'était ça.
Le morceau de résumé fané pour juste se dire ça va drôlement mieux.
2009 octobre 24 Samedith à 14:35
Je le crierais du haut de la falaise de brique que vous ne voudriez pas me croire. Il le faudrait pourtant. Tout est dépassé, insensé, horriblement vicieux. Voyelle, consonne, sourire éparpillé sur la foule immense et surdimensionnée. Les quais, le bitûme, déraisonné. Les faisceaux des néons nous volent durant la nuit. Et nous transportent.. AIlleurs on s'embrassera, vous crierez que la morale se périme. Et on riera.
2009 octobre 15 Jeudith à 12:10
Compte rendu d'un mois passé en ville infernale.
J'en ai marre des connards pas dotés d'un brin de savoir vivre.
Saturation que de voir ces pétasses qui s'arrachent l'élément casque en bafouillant des trucs à la con et qui dénaturalisent totalement le semblant de patrimoine plastique qu'on veut bien s'offrir.
70 de pseudonyme.
J'y ai cru, je fus furie.
Marre des flaques et des crânes qui se plaquent face contre la vitre.
Désespoir que sont les esprits et les pas presées.
Hummm..
ça devait embaumer la moutarde. Pique la langue et rectiligne comme un crabe remanié.
Sinon ça va.
2009 octobre 11 Dimancheth à 21:41
Rapidité la plus belle. Cracher toutes ces lettres, balayer la littérature, puisqu'il faut rire. Persuasion et conscience peu pâle, mais rien qui vaille pourtant. L'ailleurs et nos espérances. Pourquoi insérer le monde tout autant étranger qu'il est, ne pas se contenter des alentours.
Manque de propitiation soit abandonné sous ces pages encrées de nos périples heureux.
Qu'on donne l'info, qu'on balance. Des accusés de réception à la mécanique du coeur. L'attente en hiver, sur le bitume qui rend con. La fumée à la bouche, les rumeurs. Que l'endurance est belle, nos courses valorisées. Les rails, les peaux creusées par l'épreuve.
Dix ans à figer sur quelques coupures végétales, rouge à choisir. Fleur d'oranger et réunion, virage.
Stupeur sans stupéfaction aucune.
Les quais, le pas pressé, la foule en panique, la destination bien planquée dans le pack de bagages.
Les tubes plastiques passés en machines bruyantes jusqu'au soir et durant des heures.
On aura attendu qu'elles s'éloignent. Il nous fallait nous croiser cet instant là encore.
1942..
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